A propos de « rebelles » !
Cette année, c’est le thème des rendez-vous de l’histoire de Blois présidés par l’historienne Michelle Perrot, qui fut ma directrice de thèse en 1979 à l’université de Paris VII-Jussieu avec comme sujet: « Les relations amoureuses entre les femmes du XVIe au XXe ».
Mais, ce sujet n’a pas ouvert les portes des Rendez-vous de l’Histoire de Blois, Je venue à Blois signer mes livres… uniquement. Et d’ailleurs, il a été très peu question de rebelles contemporaines…
Présentation du livre:
Serait-il plus difficile d’établir l’égalité entre les sexes qu’entres les sexualités ? Le mariage pour tous est-il un progrès ou les habits neufs de l’ordre patriarcal, une normalisation qui sonne le glas de la contre culture et de l’émancipation féminine ? Adieu les rebelles !
Marie-Josèphe Bonnet tire la sonnette d’alarme : La revendication d’un « droit à l’enfant » par le recours à des techniques médicales susceptibles de révolutionner la filiation et un projet « d’émancipation du biologique » sont la suite logique du mariage pour tous. Le risque est grand de déboucher alors sur un nouvel esclavage des femmes et un renouveau de la guerre des sexes…
Une minorité est en train de faire le jeu du Néolibéralisme, ce fléau qui n’en finit pas de déstructurer les vies, les consciences, l’économie, le lien social et l’avenir de la planète, au nom du profit. Elle se travestit sous le sublime oripeau de l’égalité quand elle ne roule que pour le privilège de quelques-uns