Catégorie : Livres de Marie-Jo Bonnet

Violette Morris, Histoire d’une scandaleuse, Édition Perrin, 2011.

  • Simone de Beauvoir et les femmes, éd. Albin Michel

    Simone de Beauvoir et les femmesDéjà plusieurs articles:
    – Véronique Rossignol dans « Livres Hebdo » du 39 octobre 2015
    Livres Hebdo_avant-portrait_Marie-Jo Bonnet
    – Claire Devarrieux dans Libération 31 octobre 2015
    Libération Week-end_Simone de Beauvoir et les femmes
    – Dorothée Werner, Elle, vendredi 6 novembre 2015.
    ELLE_Simone de Beauvoir et les femmes
    – Véronique Poirson, L’express,
    http://blogs.lexpress.fr/les-8-plumes/2015/11/18/simone-de-beauvoir-ou-limposture-dune-feministe-qui-meprisait-les-femmes-un-livre-de-marie-jo-bonnet-fort-et-eclairant/
    – Anne Blanchard, Ouest-France, vendredi 4 décembre 2015: Ouest France_Marie-Jo BonnetMarie-Jo Bonnet
    – Marie-Françoise Gihousse, L’Avenir de Belgique, 17-12-2015, L’Avenir_Belgique_Marie-Jo Bonnet
    – France Inter, Affaires sensibles, Fabrice Drouelle, http://www.franceinter.fr/emission-affaires-sensibles-simone-de-beauvoir-et-le-deuxieme-homme

    Conférence à la Médiathèque de Lisieux
    Conférence à la Médiathèque de Lisieux
    – ouest-france 6 mars 2016

    Télévision
    – le 23 novembre 9h, « Dans quelle état gère? »
    http://www.france2.fr/emissions/dans-quelle-eta-gere/diffusions/23-11-2015_435052

    Radio
    – Europe 1, Social Club Frédéric Taddéi, : http://www.europe1.fr/emissions/europe-1-social-club/europe-1-social-club-071215-2632559
    – RTBF: http://www.rtbf.be/lapremiere/article_simone-de-beauvoir-et-les-femmes-une-double-vie?id=9146262

    Conférences:
    – Médiathèque de Lisieux, 5 mars 2016, Vie privée, vie publique de Simone de Beauvoir.
    – SALONS:
    – Cheux, le 15 novembre
    – Salon des Dames de Nevers, samedi 21 novembre
    – Espace Simone de Beauvoir à Nantes le 8 décembre
    – Librairie les Grands Chemins, Lisieux,, le 5 décembre…
    – Montivilliers, (à côté du Havre), 6 mars 2016
    – Sainte-Mère-Eglise, 28 et 29 mai 2016

  • Souvenirs de guerre de André LETAC – Verdun

    André LETAC, Souvenirs de guerre 1914-1918me contacter pour les acheter

    sur ce lien vous trouverez des extraits sur Verdun où il a été fait prisonnier le 1er Juin 1916.

    http://www.ouest-france.fr/normandie/lisieux-14100/grande-guerre-son-carnet-de-guerre-retrouve-pres-de-lisieux-4045345

    cité dans l’article du Monde de Nicolas Offenstadt:
    http://www.lemonde.fr/centenaire-14-18/article/2014/11/12/noel-fraternel-dans-les-tranchees_4522327_3448834.html

  • Germaine Tillion et Geneviève de Gaulle

    « Si c’est une femme », article de Daoud Boughezala sur « Plus forte que la mort » Ed. Ouest-France
    http://www.causeur.fr/genevieve-gaulle-germaine-tillion-bonnet-32962.html

    L’exposition Lutetia 1945, le retour des déportés, comprend un panneau spécial dédié aux deux résistantes déportées à Ravensbrück.

    Exposition Lutetia 1945- Panneau sur Germaine Tillion et Geneviève de Gaulle
    Exposition Lutetia 1945- Panneau sur Germaine Tillion et Geneviève de Gaulle

  • conférence musée du général Leclerc et de la liberation de Paris et du musée Jean Moulin

    jeudi 21 mai à 14h30

    pour présenter mon livre « PLUS FORTE QUE LA MORT – Survivre grâce à l’amitié dans les camps » (Ed. Ouest France 2014).

    En se basant sur les témoignages de survivantes, Marie-Jo Bonnet dresse le portrait de l’amitié féminine qui unit les femmes dans les camps nazis et leur permit de supporter la vie quotidienne et de survivre. Germaine Tillion, Geneviève de Gaulle, Odette Abadi, Simone Veil, Margarete Buber-Neumann, Odette Fabius, Marie-Jo Chombart de Lauwe, toutes les déportés témoignent de l’importance de l’amitié comme vecteur de survie que ce soit à Ravensbrûck, Auchwitz-Birkenau ou dans les commandos de travail forçé.

    Sur réservation
    au 01 40 64 39 44/52 ou par mail auprès de cecile.cousseau@paris.fr

  • aux Editions Ouest-France: « Plus forte que la mort- L’amitié féminine dans les camps »

     

    A la librairie Ombres blanches, de Toulouse, vendredi 27 mars 2015

    Germaine Tillion, Geneviève de Gaulle, Odette Abadi, Simone Veil, Margarete Buber-Neumann, Odette Fabius, Marie-Jo Chombart de Lauwn, toutes les déportées témoignent de l’importance de l’amitié comme vecteur de survie, que ce soit à Ravensbrück, Auschwitz-Birkenau ou dans les commandos de travail forcé.

    « On ne pouvait pas vivre seules », disent-elles et nous découvrons dans ce livre comment elles ont pu s’appuyer sur une amie, une sœur, une mère, une religieuse, un groupe de résistantes patriotes, ou une inconnue dont un geste d’affection a pu les sauver du naufrage.

    Plus forte que la mort – Ed. Ouest-France

    Acte de résistance à la deshumanisation, l’amitié est aussi l’expression d’une expérience nouvelle de sororité/fraternité, qui tisse un lieu social « plus profond » que celui qu’elles connaissent à travers la solidarité familiale, politique, voire la sexualité. Par delà les clivages sociaux qui subsistent, de manière parfois choquante entre les déportées de nationalités différentes ou entre triangles rouges françaises et triangles noirs allemandes,  « politiques » et « asociales », par delà l’extrême misère générée par la violence nazie, l’amitié demeure cette force de vie humaine et sociale qui les sort de leur statut de victime.

    www.leveildelisieux.fr leveildelisieux.fr

    Marie-Josèphe Bonnet est docteur en histoire, historienne d’art, écrivaine et conférencière. Elle a soutenu la première thèse d’histoire des femmes sur « Les relations amoureuses entre les femmes du XVI au XXe siècle » à l’université de Paris VII, plusieurs fois rééditée. Elle est l’auteur d’une quinzaine de livres et de nombreux articles sur l’émancipation des femmes, l’art, la Résistance et l’Occupation.

    Présidente de la Délégation de Paris des Amis de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation (AFMD) de 2013 à 2015, elle est commissaire de l’exposition « Lutetia 1945, le retour des déportés ».

  • à lire dans Emma, Homo-Ehe: Spießig oder revolutionär?

    http://www.emma.de/artikel/homo-ehe-spiessig-oder-revolutionaer-318187

    http://www.emma.de/

    Torpediert die Ehe den Kampf von Frauen- und Homobewegung um neue Lebensmodelle? Oder ist sie ein Generalangriff auf das Patriarchat? Ein Pro und Contra. Für Marie-Jo Bonnet (Foto re), 65, Pariser Feministin ist die Homo-Ehe ein « falscher Fortschritt ». EMMA-Redakteurin Chantal Louis, 45, hält gegen.

    In Frankreich gibt es sie seit Mai 2013: die „Ehe für alle“. Homosexuelle Frauen und Männer dürfen, genau wie Heterosexuelle, heiraten und Kinder adoptieren. Das Land war und ist gespalten in der Frage. Hunderttausende gingen gegen – und für – „la mariage pour tous“ auf die Straße. In Deutschland hat sich noch keine Regierung dazu durchringen können, die „richtige“ Ehe auch für gleichgeschlechtliche Paare zu öffnen. Aber es gibt die Möglichkeit der „Verpartnerung“, die rechtlich der Ehe (fast) gleichgestellt ist.

    Marie-Jo Bonnet hat in den 70er Jahren im MLF (Mouvement de Libération des Femmes) dafür gekämpft, dass Frauen auch ohne Ehemann und Kinder gesellschaftlich als vollwertige Bürgerinnen anerkannt sind. Gemeinsam mit der „Front Homosexuel d’Action Révolutionnaire“ marschierte sie als „guine rouge“ (rote Lesbe) unter dem Banner: „Nieder mit der Diktatur des Normalen!“   …

  • Lecture-spectacle de Souvenirs de guerre 1914-1918 d’André LETAC par Antoine LEVANNIER son arrière petit fils

    HONFLEUR, le 10 novembre 2014 à 18h au cinéma Henri Jeanson, près du Vieux Bassin.

    La Compagnie Phénix présente une
     lecture-spectacle de Antoine Levannier: 
    Souvenirs de Guerre d’André Letac et de Paroles de Poilus (allemands) de J-P Guéno.
  • Rendez-vous de l’Histoire à Blois, Adieu les rebelles! n’est pas invité officiellement. Pourquoi?

    Adieu les rebelles, Ed. Flammarion

    A propos de « rebelles » !

    Cette année, c’est le thème des rendez-vous de l’histoire de Blois présidés par l’historienne Michelle Perrot, qui fut ma directrice de thèse en 1979 à l’université de Paris VII-Jussieu avec comme sujet:  « Les relations amoureuses entre les femmes du XVIe au XXe ».

    Mais, ce sujet n’a pas ouvert les portes des Rendez-vous de l’Histoire de Blois, Je venue  à Blois signer mes livres… uniquement. Et d’ailleurs, il a été très peu question de rebelles contemporaines…

    Présentation du livre:

    Serait-il plus difficile d’établir l’égalité entre les sexes qu’entres les sexualités ? Le mariage pour tous est-il un progrès ou les habits neufs de l’ordre patriarcal, une normalisation qui sonne le glas de la contre culture et de l’émancipation féminine ? Adieu les rebelles !

    Marie-Josèphe Bonnet tire la sonnette d’alarme : La revendication d’un « droit à l’enfant » par le recours à des techniques médicales susceptibles de révolutionner la filiation et un projet « d’émancipation du biologique » sont la suite logique du mariage pour tous. Le risque est grand de déboucher alors sur un nouvel esclavage des femmes et un renouveau de la guerre des sexes…

    Une minorité est en train de faire le jeu du Néolibéralisme, ce fléau qui n’en finit pas de déstructurer les vies, les consciences, l’économie, le lien social et l’avenir de la planète, au nom du profit. Elle se travestit sous le sublime oripeau de l’égalité quand elle ne roule que pour le privilège de quelques-uns

  • Femmes artistes avant 1900

    Les autoportraits de femmes peintres à leur travail apparaissent en France au XVIIIè siècle, à partir des années 1770, lorsque les femmes artistes sont admises à l’Académie Royale de Peinture et de Sculpture (avec un quota de 4) et qu’elles prennent conscience qu’elles ont droit à un vrai statut professionnel.
    Voir mon article, « Femmes peintres à leur travail : un art du manifeste ? », Revue d’Histoire Moderne et Contemporaine, n°3, juil-aout 2002.

    Elisabeth Vigée Le Brun- Autoportrait à la palette, 1782 et Portrait de Mme de Polignac

    Voir aussi « Liberté, égalité, exclusion, Femmes peintres en révolution, 1770-1804« , 2012 aux éditions Vendémiaire.

    La Révolution mettra un terme à cette aspiration égalitaire en renvoyant les femmes artistes à leur famille.

     

     

  • Histoire de l’amour entre femmes dite homosexualité

    France Inter, émission de Stéphanie Duncan vendredi 30 novembre:

    http://www.franceinter.fr/emission-les-femmes-toute-une-histoire-l-homosexualite-feminine

     

    Cette histoire de l’amour entre femmes tient compte du regard extérieur des hommes et de l’approche des lesbiennes.

    L’analyse à long terme dégage une évolution des moeurs, des mentalités et de la place des femmes dans la société. (Thèse d’histoire, Paris VII, 1979)